Spécialisée dans la fabrication de peinture à façon
DÉVELOPPEMENT DURABLE
Le groupe Maestria, de par son implantation, a toujours oeuvré pour le développement durable au travers de ses différentes filiales.
Aujourd'hui ses actions se renforcent et s'accélèrent :
Le groupe Maestria est fier de faire partie de la Communauté du Coq Vert : Engagement pour la transition énergétique et écologique.
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Eco-conception des produits
Un engagement dans la Chimie du Végétal et son utilisation dans nos peintures au travers de matières premières renouvelables issues de la biomasse ou du milieu naturel en lieu et place de matières pétrosourcées
Le groupe Maestria est membre de l'Association de la Chimie du Végétal (ACDV)
L'utilisation de matières recyclées dans la formulation ou dans les emballages.
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Gestion appropriée des ressources
La réalisation d'un bilan GES permet de mettre en place des actions pour optimiser nos besoins en énergie.
Nos usines sont équipées de stations de traitement des eaux de process permettant de recycler une partie de ces eaux.
L'investissement dans les énergies renouvelables sur nos batiments tertiaires s'intensifie
Un tri sélectif des déchets et leur minimisation sur l'ensemble de nos sites s'effectuent en continu
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Santé / Sécurité
La substitution des matières dangereuses est un objectif principal dans notre travail de formulation
L'information et la formation de nos collaborateurs, de nos partenaires et de nos clients sur les risques est notre priorité
La mise en place de procédés de fabrication automatisés permet de sécuriser et faciliter les opérations.
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Pérennité du Groupe
Le groupe œuvre pour pérenniser l'emploi, favoriser l'économie circulaire en s'appuyant sur les partenaires locaux qu'ils soient privés ou institutionnels.
ÉCOLOGIE
Bien sûr, nous sommes dans une société de gaspillage, de déchets (500kg par an par personne), de pollution. Mais des actions concrètes sont entreprises par chacun à travers le tri des déchets, le recyclage, les efforts faits pour moins polluer, l’utilisation d’énergies renouvelables … etc.
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Le domaine de la peinture n’est pas en reste et subit depuis plusieurs années d’importantes mutations, principalement sous l’impulsion des différentes réglementations : suppression des siccatifs au plomb, suppression de l’utilisation du formaldéhyde en tant que conservateur en pot, suppression des peintures en phase solvant pour l’intérieur (directive visant à réduire les émissions de Composés Organiques Volatils), généralisation de la certification écolabel (réduction de l’impact sur l’environnement et de la dangerosité du produit). Et ce n’est pas fini ! Demain toutes les substances chimiques seront évaluées et les plus dangereuses seront interdites. Demain nous mesurerons l’impact de la peinture sur la qualité de l’air intérieur que nous respirons. Demain nous afficherons l’impact de la production et de l’utilisation de la peinture sur l’environnement : son « empreinte carbone ».
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La préoccupation environnementale majeure concerne toutefois la disponibilité des ressources à moyen terme. Avec le risque plus ou moins lointain de ne plus avoir suffisamment de pétrole, c’est toute la chimie qui doit se remettre en cause. Et sur ce thème, il n’y a pas encore de vraie législation. Ce qui risque de devenir un grave problème est aujourd’hui un concept trop éloigné pour être correctement appréhendé. L’émergence et la mise sur le marché de peintures à base de composés d’origine naturelle fait partie des initiatives concrètes et volontaires qui visent à utiliser moins de ressources fossiles (le pétrole) et plus de ressources renouvelables (les plantes).